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 Guerre de Troie (xe ou xie siècle av. J.-C.)

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nenery
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Messages : 34
Date d'inscription : 03/12/2012

Guerre de Troie (xe ou xie siècle av. J.-C.) Empty
MessageSujet: Guerre de Troie (xe ou xie siècle av. J.-C.)   Guerre de Troie (xe ou xie siècle av. J.-C.) Icon_minitime1Lun 13 Mai - 18:56

1-Déclenchement
La guerre de Troie est un conflit légendaire à l'historicité controversée, provoqué par l'enlèvement d'Hélène, reine de Sparte, par le prince troyen Pâris. En rétorsion, Ménélas, l'époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des rois grecs, qui assiège Troie et remporte finalement la victoire. La guerre de Troie et ses conséquences formaient le sujet d'un vaste cycle épique, le « Cycle troyen », dont les œuvres sont aujourd'hui perdues à l'exception de l’Iliade et de l’Odyssée d'Homère.
Elle représente une pierre fondatrice de la culture grecque et constitue encore une source d'inspiration pour les artistes et écrivains.

La guerre est entreprise à la suite de l'enlèvement d'Hélène, épouse du roi de Sparte, Ménélas, par le troyen Pâris, fils de Priam, roi de Troie. En effet, Hélène lui avait été promise par Aphrodite, en remerciement pour le jugement du mont Ida, lui attribuant la pomme d'or. Pâris dut alors choisir entre Héra, Athéna et Aphrodite, lui promettant respectivement la royauté, la puissance militaire et l'amour de la plus belle femme du monde : Hélène.

On peut aussi considérer l'enlèvement d'Hélène, et donc l'incitation à la guerre, comme une vengeance de la part de Priam de la précédente guerre de Troie. En effet, si Pâris est autorisé à se rendre à Sparte, c'est pour demander le retour d'Hésione, emmenée par Télamon après la guerre.

1.1 Coalition achéenne
Les rois grecs, descendants de Pélops sont contraints par le serment de Tyndare à se joindre à la cause de Ménélas, l'époux d'Hélène. Celui-ci, accompagné de Nestor, parcourt la Grèce pour les rappeler à leur promesse.

Étant accompagné de son frère Agamemnon et de Palamède, Ménélas alla trouver à Ithaque Ulysse, réticent à cause d'un oracle qu'il avait entendu. Pour éviter d'avoir à partir, il simula la folie : vêtu en paysan, il labourait un champ avec un âne et un bœuf attelés à la même charrue, et lançait du sel par-dessus son épaule. Palamède plaça alors le jeune Télémaque, fils d'Ulysse, devant l'attelage en marche. Ulysse tira vivement sur les rênes, montrant ainsi qu'il était sain d'esprit. On peut accorder une signification métaphorique à cet épisode : le bœuf et l'âne représentent Zeus et Chronos, chaque sillon ensemencé de sel signifie une année perdue, et Télémaque marque la « victoire décisive ».
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Selon les auteurs tardifs, le devin Calchas avait prédit que Troie ne pourrait être prise sans Achille, fils de Thétis. Sa mère, pour le protéger de la guerre, le cacha, déguisé en fille, chez Lycomède, roi de Skyros. Mais il fut confondu par une ruse d'Ulysse, qui excita son instinct de guerrier et le poussa à se révéler en faisant sonner la trompette aux portes de la cité. Cependant Homère raconte simplement que Nestor et Ulysse, étant venus à Phthie pour recruter des troupes, se virent confier Achille par son père Péléeil.

D'autres rois et héros, tels que les deux Ajax, Diomède et Tlépolémos les rejoignirent encore. Idoménée, roi de Crète, lui aussi ancien prétendant d'Hélène, qui avait amené un nombre considérable de navires obtint le commandement des gardesil. Toutes les troupes se rassemblèrent à Aulis. Cependant, elles ne pouvaient partir sans provisions ; c'est Anios qui les fournit, grâce à ses filles, les Vigneronnes. Mais Ménélas envoya Agamemnon — accompagné d'Ulysse — pour emporter avec eux les Vigneronnes ; comme Anios refusait, ils les enlevèrent de force mais elles s'enfuirent.

1.2 Première expédition
Cette flotte accoste, dans la deuxième année après l'enlèvement d'Hélène, en Mysie, non loin d'Élée. Ils affrontent d'abord Télèphe, roi de Mysie et fils d'Héraclès qui, alarmé par le débarquement d'une armée si imposante, a dépêché contre elle ses propres troupes. Après des combats acharnés, Télèphe apprend qui sont les chefs de l'armée ennemie et le combat cesse alors. La flotte grecque repart chez elle après cette première expédition, et se repose pendant huit ans.

2- Seconde expédition
2.1 Mise en place du siège
Alors que l'armée grecque s'apprête, la colère d'Artémis contre Agamemnon bloque la flotte à Aulis. Le devin Calchas impose le sacrifice d'Iphigénie, fille de ce dernier ; c'est par la promesse d'un mariage avec Achille que les chefs achéens attirent alors la jeune fille à Aulis.

Quand la flotte grecque arrive devant Troie, l'armée doit affronter Cycnos, fils de Poséidon et roi de Colone, qui les empêche de débarquer et qu'aucune arme ne peut blesser. Achille parvient à le tuer en l'étranglant avec la jugulaire de son casque ou d'un jet de pierre.

Les Grecs installent leur camp sur la plage qui s'étend devant Troie ; une ambassade achéenne pour réclamer Hélène échoue. Une fois les Troyens retranchés derrière leurs murailles, Achille s'emploie à leur couper les vivres. Il attaque et réduit ainsi onze cités d'Anatolie, tributaires de Troie. C'est dans Lyrnessos, l'une de ces villes, lors de la dixième année de siège, qu'il reçoit pour part d'honneur Briséisil, tandis qu'Agamemnon reçoit Chryséis lors du sac de Thèbe sous le Placosil.

2.3 Colère d'Achille
C'est à ce moment que commence le récit de l’Iliade. Une peste frappe le camp grecil et Calchas, encouragé par Achille, révèle qu'Apollon a puni Agamemnon pour avoir refusé à son prêtre, Chrysès, de lui rendre sa fille Chryséisil. Contraint de céder, Agamemnon furieux réclame une autre part d'honneur. Achille se récrie et Agamemnon, pour l'humilier, décide de prendre Briséis, sa captiveil. En colère, ce dernier décide de se retirer sous sa tente et jure sur le sceptre d'Agamemnon, don de Zeus, de ne pas retourner au combatil. Zeus, sur sa demande, donne l'avantage aux Troyens, tant qu'il sera absent du champ de batailleil.

Privés de son appui, les Grecs essuient défaites sur défaites, et alors que les Grecs sont acculés et que les Troyens menacent de brûler leurs nefs, le vieux sage Nestor, Phénix et Ulysse viennent en ambassade plaider la cause achéenneil. Achille reste ferme mais Patrocle, ému par les malheurs de ses compatriotes, obtient l'autorisation d'Achille de sauver les Grecs en portant ses armesil. La manœuvre réussit mais Patrocle, malgré sa promesse à Achille, engage la poursuiteil. Il est tué par Hector, frère de Pâris, qui prend les armes d'Achille comme butinil. Furieux et humilié — trompé par Patrocle, qui en est mort et donc hors de punition, et symboliquement vaincu par Hector —, Achille décide de se venger, malgré les avertissements de sa mère : s'il affronte Hector, il mourra peu de temps aprèsil. Héphaïstos lui forge de nouvelles armes, avec lesquelles il sort à la recherche d'Hectoril.
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Combat d'Achille et de Penthésilée, cratère en cloche lucanien de la fin du ve siècle av. J.-C., Musée national archéologique de Madrid
Revêtu de son armure divine, il s'engage à nouveau dans le combat et abat un grand nombre de Troyens sur son passageil , tellement que les eaux du Scamandre sont souillées de cadavresil. Offenséil, le Scamandre manque de noyer Achilleil. Sauvé par l'intervention d'Héphaïstosil, celui-ci rencontre enfin Hector, le défie et le tue avec l'aide d'Athénail. Il traîne sa dépouille trois fois autour de la ville avec son charil avant de la ramener dans le camp achéen.

Achille fait pourtant preuve d'humanité en laissant le roi Priam, venu dans sa tente en suppliant, emporter le corps de son fils pour lui accorder des dignes funéraillesil. Il obéit ainsi à sa mèreil, envoyée par les dieux mécontents du traitement infligé à la dépouille du héros.

Certains racontent ensuite l'arrivée de Penthésilée, reine des Amazones, et de Memnon, qui est selon certains roi d'Éthiopie. Penthésilée est défaite par Achille. Mais il tombe amoureux du cadavre ; et Thersite s'étant moqué de lui, il tue ce dernier. Antiloque, pour sauver son père, s'affronta à Memnon qui le tua. Achille le vengea en tuant Memnon.

2.4 Cheval de Troie
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Sur une idée d'Épéios ou d'Ulysse — à moins que ce ne soit sous l'inspiration d'Athéna — les Grecs construisirent un énorme cheval en bois, dans lequel ils cachèrent des guerriers, au nombre desquels on compte notamment Ulysse, Ménélas et Néoptolème. Ensuite les Achéens brûlèrent leur camp, embarquèrent sur leurs navires et dissimulèrent leur flotte plus loin, derrière l'île de Ténédos.

Les Troyens, face au cheval, étaient désemparés et la foule se partage en avis contraires sur le sort qu'on doit lui réserver : étant avertis qu'il s'agit d'un présent pour la déesse Athéna, les uns veulent le faire entrer dans la ville ; les autres, menés d'abord par Thymétès, prônent la méfiance. Survient alors Laocoon qui exhorte ses compatriotes à se débarrasser du cheval, prononçant la formule célèbre :

« Quidquid id est, timeo danaos et dona ferentes. »
— Virgile, Énéide
Et, joignant le geste à la parole, il jette un javelot dans le flanc du cheval ; on entend alors des gémissements, qui sont sans aucun doute ceux des Grecs.
Mais Sinon, un Grec resté sur la côte, apparaît alors et, faisant croire qu'il a été condamné par les Grecs, et qu'il est donc prêt à les trahir, il tient le discours suivant :

« Calchas a voulu qu'ils fissent une énorme masse et que cette charpente s'élevât jusqu'au ciel, et qu'ainsi elle ne pût entrer par vos portes ni être introduite dans vos murs ni replacer le peuple de Troie sous la protection de son ancien culte. Si vos mains profanaient cette offrande à Minerve, [...] alors ce serait une immense ruine pour l'empire de Priam et pour les Phrygiens. Mais si, de vos propres mains, vous la faisiez monter dans votre ville, l'offensive d'une grande guerre conduirait l'Asie jusque sous les murs de Pélops. »
— Virgile, Énéide
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Comme pour confirmer ses dires, deux serpents surgissent de la mer et se jettent sur Laocoon et sur ses enfants Puis ils se réfugient dans le temple d'Athéna. Le message semble clair aux Troyens : Athéna leur est farouche, il faut donc l'apaiser. Ils n'ont pas pensé que peut-être c'était pour les offenses personnelles que Laocoon avait pu faire à la déesse qu'il était puni. Ils décident alors d'ouvrir une brèche dans les murs de la cité pour faire entrer l'offrande. À plusieurs reprises, lorsqu'ils déplacent l'engin, ils perçoivent des bruits à l'intérieur, qui sont ceux des armes grecques qui s'entrechoquent. Si on ajoute à ce signe les prédictions que Cassandre avait déjà faites auparavant et le bruit du javelot de Laocoon, on voit que c'est malgré des indices nombreux que les Troyens ont accepté l'offrande. Notons que selon certains, Priam aurait agi de sa propre initiative, et sans l'intervention de Sinon.

Une fois la nuit venue, un complice des Grecs fit des signaux lumineux depuis la cité pour les engager à attaquer. Chez les uns, c'est Hélène qui feignit de mener une procession nocturne, accompagnée de flambeaux; chez les autres, c'est Sinon qui alluma un feu. Certains racontent qu'Hélène serait allée sous le cheval, et aurait appelé les guerriers en imitant la voix de leurs femmes ; tous furent tentés de répondre à ce ton familier, mais Ulysse réfréna leur désir.
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3-Interprétation mythologique
3.1 Structure mythique récurrente
On observe tout d'abord qu'il existe une structure récurrente dans certains mythes grecs, et commune à l'histoire d'Héraclès et d'Hésione et à celle de Persée et Andromède : ces deux mythes commencent avec l'histoire d'une jeune fille nue attachée à un rocher pour être offerte en sacrifice à un monstre marin ; ses libérateurs, Héraclès et Persée, la libèrent en échange d'une promesse effectuée par ses parents, mais la promesse n'est pas tenue et une grande bataille éclate ; elle se termine par la défaite totale de l'armée ennemie.

On peut alors supposer que tous deux proviennent d'un même mythe archaïque. Ainsi, dans la mythologie mésopotamienne, on retrouve l'affrontement de Marduk et de Tiamat, où celui-ci — qui possède de plus un cheval solaire blanc, qui rappelle Pégase né du sang de Méduse tuée par Persée ainsi que les chevaux promis à Héraclès — attache celle-là à un rocher pour la neutraliser.

3.2 Lien avec la guerre de Troie
L'histoire d'Hélène et celle d'Hésione sont très fortement liées ; on pourra aussi remarquer que, du côté des dieux, qui sont omniprésents dans la mythologie, les deux légendes prennent racine chacune dans une offense des Troyens à Héra : d'un côté, Héraclès intervient dans l'espoir des chevaux donnés en cadeau en compensation de l'enlèvement de Ganymède par Zeus, qui entrait alors en concurrence avec sa femme ; d'un autre côté, Pâris enlève Hélène parce qu'il a donné la pomme d'or à Aphrodite, et non à Héra, qu'il ne considérait donc pas comme la plus belle. Ainsi, Virgile écrit à propos de Junon :

« Au fond de son cœur vivent toujours le jugement de Pâris, le mépris injurieux accordé de sa beauté, une race odieuse, l'enlèvement et les honneurs de Ganymède »
— Virgile, Énéide

Par ailleurs, on retrouve en partie la structure évoquée plus haut pour l'histoire d'Achille et de Briséis : Agamemnon offre de rendre Briséis à Achille s'il accepte de retourner au combatil, de même que Céphée offre Andromède à Persée s'il combat pour lui.

3.3 Mythe cosmologique
À partir de là, on peut faire interpréter la guerre de Troie comme un mythe cosmologique, comme cela a été fait, à propos de Persée, pour le meurtre de Méduse: un génie solaire — ici incarné par Persée, Héraclès et Pâris — libère l'Aurore — ici : Andromède, Hésione et Hélène — en combattant la Nuit, assimilée aux Enfers.
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En effet dans la guerre de Troie, Éos, l'Aurore, intervient indirectement, puisqu'elle est éprise de Tithon, un Troyen, par qui elle est mère de Memnon, qui combat du côté des Troyens. De plus le nom d'Hélène, par son étymologie, se rapproche du Soleil.

4-Récits et représentations
4.1 Épopées
L’Iliade et l’Odyssée sont les plus anciens récits qui nous soient parvenus au sujet de la guerre de Troie — le récit de Darès de Phrygie était censé être plus ancien, mais la version qui nous est parvenue est sans aucun doute beaucoup plus récenteC 7. Néanmoins, à l'époque archaïque, ce sujet était l'un des préférés des aèdes et des poètes. Les œuvres épiques qui y étaient consacrées étaient donc nombreuses. L'ensemble de ces œuvres est nommé le « Cycle troyen ».

Pendant la période classique et surtout alexandrine, le sujet resta à la mode. De nombreux mythographes comme Proclos dans sa Chrestomathie, le pseudo-Apollodore dans sa Bibliothèque, ou Hygin dans ses Fables rédigèrent des résumés ou des analyses des événements décrits dans l’Iliade. À l'époque tardive fleurirent aussi des suites et des contre-récits. Ces derniers avaient pour but de présenter les événements sous un angle différent de celui adopté par Homère. En fait, nombre des détails ou des traditions associés pour nous à tel ou tel héros ne sont pas présentes dans l'œuvre homérique, mais proviennent de versions alternatives.
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Virgile conta également dans son Énéide le récit d'un des héros troyens, Énée, fils d'Aphrodite, qui suivit sans le savoir les traces d'Ulysse, pour aller fonder une nouvelle Troie, Rome. C'est notamment par cette épopée qu'on connaît en détail l'épisode de la prise de Troie.

Enfin, au Moyen Âge, des auteurs s'efforcèrent de mettre à la portée du public cultivé le contenu des œuvres grecques.

L'Iliade latine, attribuée à un certain Bæbius Italicus, ier siècle ;
Éphéméride de la guerre de Troie, attribuée à Dictys de Crète, ier siècle ;
La Suite d'Homère, Quintus de Smyrne, ive siècle ;
La Prise de Troie, Tryphiodore, ive siècle ;
Histoire de la destruction de Troie, Darès le Phrygien, ve siècle ou début vie siècle ;
L'Excidium Troie, compendium du vie siècle ;
Le Roman de Troie, Benoît de Sainte-Maure, v. 1165 ;
L'Ilias, Simon Chèvre d'Or, troisième quart du xiie siècle ;
L'Iliade, Joseph d'Exeter, v. 1183-1190 ;
Troilus, Albert de Stade, xiiie siècle.
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